I had a meeting this week with a person, head of HR department, during which I realized there was something odd about what she expected, what I was speaking about, what she based her communication upon and what I took out of it all.
J’ai eu une réunion cette semaine avec une personne, chef du département des ressources humaines, au cours de laquelle j’ai réalisé qu’il y avait quelque chose de bizarre à propos de ce qu’elle attendait, ce dont je parlais, la base de sa communication et ce que j’ai sorti de tout cela.
Same day it so happened that I attended the weekly ITyPA hangout session, followed by an after I usually have with a small number of attendees as a matter of debriefing routine.
Le même jour il s’est trouvé que j’assistais à la séance hangout IYyPA hébdomadaire, suivie par un after que je tiens régulièrement avec un petit nombre de participants comme un débriefing en quelque sorte.
What was odd about this one? The same impression as with aforementioned HR session: the feeling that in spite of an apparent willingness to adopt what web 2.0 is meant to bring in, the same reluctance to let go.
Qu’y avait-t’il d’étrange avec cela? La même impression qu’avec la séance RH mentionnée plus haut : le sentiment que en dépit d’un volonté apparente d’adopter ce que le web 2.0 est supposé apporter, la même résistance à laisser aller.
Let go:
oldformer habits concerning résumés, their formats, their contents, the way they are to be communicated, the way they’re read, summarized, shared and archived,…- ownership : who runs the show, on what platform exchanges are to take place, who distributes roles, who does what, …
Laisser aller :
- De
vieillesanciennes habitudes concernant les curriculum vitaes, leurs formats, leurs contenus, la façon dont ils sont communiqués, qu’ils sont lus, résumés, partagés et archivés, … - La possession : qui anime le débat, sur quelle plateformes les échanges doivent avoir lieu, qui distribuent les rôles, qui fait quoi,…
One cannot have it both ways, it is either one or the other. It is now very common scene to witness conflicts of interest occurring because one hasn’t yet realized or accepted that fact. Information overload has no other primary root cause.
On ne peut pas tout avoir, c’est l’un ou l’autre. Il est maintenant très courant d’assister à des conflits d’intérêts parce qu’on n’a pas encore compris ou accepté ce fait. L’infobésité n’a pas d’autre première origine.
Bonsoir Pascal
est-ce que j’ai compris?
Selon toi on reste infobèse car on ne lache pas prise, on veut tout attraper et ramener à soi ?
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Oui, c’est en substance ce que je pense. Je ne lance pas ça en l’air, je le vois autour de moi au travail. Il est d’ailleurs assez comique de constater que plus haut dans les hiérarchies les gens sont plus ils se plaignent de trop avoir d’emails à gérer… ce sont aussi, bien souvent, ceux dont on dit “qu’ils/elles ne délèguent pas, sont totalement opaques et veulent tout contrôler”.
L’infobésité est un terme bien trouvé : si on remplaçait ‘information’ par nourriture est-ce qu’on ne trouverait pas ridicule que quelqu’un s’empiffre à longueur de journée pour ensuite se plaindre de problèmes de digestion?
J’espère avoir été plus clair.
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